AUDIT D’ECAIR : Jean-Jacques BOUYA dans le collimateur de Kiki Sassou-NGuesso (Partie 1). Par Rigobert Ossebi

Sassou et son neveu Bouya en pleine gloire

Le choix d’un Denis Christel, pour succéder à son tyran de père, ne s’imposera pas aisément à tous et pas même au propre clan familial. Usé par un pouvoir totalitaire qu’il a exercé pendant quarante années, Denis Sassou Nguesso s’empresse désormais, à la hussarde, d’en établir les conditions qu’il pense favorables… !

Déjà, l’élimination des gêneurs potentiels avait commencé depuis fort longtemps avec la mort, par empoisonnement, des généraux, Blaise Adoua, Bouissa-Matoko et Yves Motando. Ce nettoyage est plus que jamais d’actualité avec l’assassinat du colonel Marcel Ntsourou et ne cessera pas avant que la scène du sacre soit totalement dégagée de toute présence inopportune. L’ex-ministre André Okombi Salissa et le Général Jean-Marie Michel Mokoko, maintenant opposants notoires, ne devraient pas tarder à disparaître tragiquement selon les vœux du Clan. Quant à Pierre Oba et Norbert Dabira, compagnons de la première heure et témoins embarrassants de l’affaire des disparus du Beach, même depuis longtemps sur leurs gardes, auront le plus grand mal à ne pas connaître le même sort !

Sur le plan national, la guerre du Pool et les procédures judiciaires, menées tambour battant par Oko Ngakala, caricature de procureur général, relèvent de la volonté d’instaurer durablement un très fort climat de peur et de terreur. La population congolaise, complètement tétanisée, s’interdira alors toute réaction à l’annonce officielle du départ de Denis Sassou Nguesso et de sa succession par son fils, Denis Christel.

Concomitamment, sur le strict plan familial, s’est mise en marche la neutralisation des membres du Clan qui seraient hostiles à cette décision du tyran et surtout à ce choix ; contrairement à la tradition  favorisant les neveux plutôt que les enfants. La réalisation récente d’un audit de la compagnie aérienne ECAir en constitue une première étape.

« Les comptes de la Société ECAir ne sont pas réguliers et sincères et ne donnent pas une image fidèle du résultat des opérations de la période écoulée ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société au 30 novembre 2015…. »

Telles étaient les conclusions de cet audit, rendu le 4 janvier dernier, par les cabinets, CACOGES dirigé par Monsieur Brice Voltaire Etou-Obami et RAIMBOW FINANCE de Monsieur Serges Seket,  et établi à la demande du Ministère des Finances, du Budget et du Portefeuille Public.

ECAir,  rappelons-le, a pour Président du Conseil d’Administration le tout puissant Jean-Jacques Bouya. Le Congo du despote Sassou-Nguesso n’avait guère permis, jusque-là, que des étrangers au Clan viennent fouiller dans les comptes de ses membres les plus éminents et les plus gourmands…  Monsieur Calixte Ganongo n’aurait sûrement pas pu ordonner, dans un même temps, l’audit de la SNPC de Kiki le pétrolier ; également propriété de l’Etat congolais et dont il avait été longtemps le Directeur Administratif et Financier, toujours aux ordres du même Kiki, aujourd’hui véritable chef du gouvernement congolais. Mais, peut-être que ce ministre des finances, à la botte de l’héritier, a-t-il déjà exigé l’audit du Domaine présidentiel d’Edgard Nguesso, de la Mairie de Brazzaville d’Hugues Nguouélendélé ou d’autres structures étatiques confiées à d’autres membres du Clan mafieux ?

Peu importe pour le moment. La lecture complète de ce premier audit éclaire, complètement, la gestion calamiteuse de la compagnie d’aviation congolaise, qui avait pour ambition de conquérir le monde, après avoir fait de Brazzaville le hub incontournable de toute la sous-région et bien au-delà. Correctement établi par ces experts-comptables, cet audit apparait soudain comme une épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête d’un neveu, bourré d’ambitions, qui prétend légitimement, pense-t-il, à la succession de son Oncle-président…

Que l’on ne s’y trompe pas : cet audit est bien plus politique que financier malgré les 300 milliards de FCFA partis en fumée ! Pour beaucoup moins que cela, et sans aucun recoupement comptable, Vincent Pena Pitra avait été arrêté et presque immédiatement, au début de cette année, condamné à une peine de 5 ans de prison. L’injustice congolaise lui reprochait un prétendu abus de 300 millions de FCFA. Dans cette logique, Jean-Jacques Bouya sera-t-il condamné à 5000 ans de prison ferme ?

Les abus de biens sociaux sont flagrants et le tempétueux Oko Ngakala, aux ordres de Denis Christel le futur monarque, ne devrait pas tarder à jeter en prison les dirigeants concernés ; au premier rang desquels, Jean-Jacques Bouya bien sûr et Fatima Beyinda-Moussa pour les dizaines de milliards de FCFA évaporées sans que ce dernier audit n’ait pu obtenir, après réclamations, la moindre justification. Autres cibles potentielles, les sociétés suisses PRIVATAIR  et COEM, en collusion très certaine avec les deux dirigeants de l’entreprise cités plus haut. Là encore, l’injustice congolaise pourrait donner de la voix et faire appel à la coopération de la Police helvétique.

Avant de revenir en détails sur cet audit dans un prochain article, ces épisodes juridiques et judiciaires ne seront rien au regard du dernier volet de l’installation de Denis Christel Sassou Nguesso à la tête de l’Etat congolais. Inévitablement, cette succession, pour qu’elle s’inscrive durablement dans le temps, devra s’affranchir de toute contestation ultérieure provenant de cette famille extrêmement riche et puissante mais surtout divisée par des haines farouches et des rivalités inconciliables.

L’ultime solution, assurément, ne pourra que prendre exemple sur la succession de Soliman le Magnifique, Sultan de l’âge d’or de l’Empire ottoman. Soliman régna au XVIème siècle durant près de 46 ans. Il épousa Roxelane, une fille de son harem, qui était sa favorite. Soliman avait eu huit fils dont quatre vécurent jusque dans les années qui approchaient sa fin de règne. Un seul parmi ces derniers, Mustafa, n’était pas de Roxelane, et il était pressenti pour succéder à Soliman car il était le plus talentueux de tous les fils. Comme l’Empire manquait de règles pour la succession, cela impliquait la mort des princes concurrents afin d’éviter une guerre civile. Roxelane savait donc que si Mustafa devenait sultan, ses fils seraient assassinés. Finalement, les intrigues de Roxelane aboutirent à l’assassinat de Mustafa en présence de Soliman, dissimulé par un rideau. Un des fils de Roxelane mourut de chagrin après la mort de son demi-frère. Les deux frères survivants entrèrent en conflit armé et Soliman prenant partie pour l’un deux, Selim, contre une importante quantité d’or, obtint alors que Bayezid, son autre fils, et ses quatre petits-fils, réfugiés à l’étranger de son Empire, soient exécutés.

Tant la haine qu’ils éprouvent les uns pour les autres, tant la jalousie et la rancœur prédominent dans leurs relations, inéluctablement les princes Nguesso, comme l’un d’eux l’a confirmé à l’auteur, en arriveront au scénario ottoman.

Encore un peu de patience, l’ère de Sassou-Alima le Magnifique touche à sa fin… !

Rigobert OSSEBI

Diffusé le 26 février 2017, par www.congo-liberty.org

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15 réponses à AUDIT D’ECAIR : Jean-Jacques BOUYA dans le collimateur de Kiki Sassou-NGuesso (Partie 1). Par Rigobert Ossebi

  1. VAL DE NANTES dit :

    LE CONGO REEL s’en souviendra ;;;;;;;;;

  2. SASSOUFIT,DEGAGE SASSOUFIN dit :

    Merci Rigobert
    Une terrible fin attend cette famille,après la chute de Sassou-Alima tout ce qu’ils ont fait et volé vont disparaitre en un mois.Parole d’une soeur de dieu.

  3. Anonyme dit :

    Très bonne analyse Rigobert OSSEBI, que du bonheur en lis
    ant tes articles, ton papier est prémonitoire. Cet article présage de ce qu’il adviendra à ces gens qui pensent que le Congo-Brazza est leur bien, leur patrimoine découlant on ne sait de quelle succession. Ils seront perdants, le fils se voit déjà président, ce garçon se trompe lourdement, il ne condamnera JAMAIS, JAMAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISSSSSSSSSSSSSSSSSSSS notre pays. Surtout plus JAMAIIIIS le nom qu’il porte, synonyme de sang. Pas eux, non, non, NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNN.

  4. Kuna dit :

    Bango ha banco. E tutana e tutana bango n’a bango. Qu’ils s’entretuent entre eux, ah ça c’est bon ça. Au moins ils aideront le peuple là où les opposants et l’armée de merde auront échoué.

  5. Itoua Négoce,
    Si tu es encore chez Ecair, tu vois qu’aujourd’hui l’histoire vient de dire la même chose que je disais à propos du système comptable et financier d’Ecair: la déconnexion avec les principes comptables généralement reconnus (PCGR) que j’avais enseigné à Mlle Mboussa aux HEC Montréal.

    Ce n’est guère étonnant que ces experts comptables arrivent à ces conclusions. Mais à qui la faute? Au conseil d’administration de l’entreprise qui a refusé de faire son travail. Quand une entreprise a un ratio de solidité financière de -1200%, le CA doit tout arrêter. Mais non, le C.A a préféré laisser les fossoyeurs se servir sur la bête quand bien même tous les indicateurs indiquaient la mort de l’entreprise.

    Bref, maintenant que des experts comptables du septentrion, Etou Obami et Seket, disent eux aussi ce que tout le monde avait vu bien avant, ils ne diront plus que ce sont toujours les mêmes Laris qui aiment critiquer pour critiquer en se faisant passer pour les plus intelligents, dixit Itoua Négoce.

    Pour ce qui est de la lutte au pouvoir, il ne faut pas se faire trop d’illusions. Regardons comment cela s’est passé au Togo. Sassou imposera aux autres celui qui garantit le mieux ses arrières. Les autres devront accepter à moins d’accepter de sortir les pieds devant.

    Une chose est sûre:,l’après sassou est l’ère de la trahison tant les prétendants malheureux à sa succession croiront que leur tour viendra un jour, et ce malgré l’imposition du préféré. Aussi, au regard des rapports de force, plusieurs d’entre eux vont feindre d,accepter le choix de sassou, mais en coulisse ils vont tout faire pour renverser ce préféré comme nous l’avons vu dans les cas Ngouabi et Yhombi qui avaient été renversés par ceux qui les avaient porté au pouvoir.

  6. Thierry Lezin MOUKOUYOU dit :

    Comme le dit si bien Rigobert, l’audit d’ECAIR rêvait plutôt un caractère politique.

    A partir des données publiées en 2015, nous avons suffisamment fourni et gratuitement quelques indices qui suffisaient à déterminer la courbe de vie de la société.

    Quand à la guerre de succession, elle ne répond qu’à une réalité qu’il faut anticiper, au vu de la fortune et des casseroles des plus de 33 ans de pouvoir, mais aussi en tenant compte de l’âge et de l’état de santé du chef de l’organisation criminelle.

    Chacun va essayer de se mettre dans la meilleure position, pour se faire le mieux apprécier ou d’être dans la situation qui garantirait le mieux les intérêts claniques.

    En cela, le fait d’avoir le pouvoir entre les mains du clan finira par leur inspirer plus de sagesse pour trouver un compromis afin de sauver l’essentiel.

    C’est cette capacité de consensus qui manque à l’opposition et qui explique le fait de n’avoir pas profité d’une dynamique d’ensemble, dans le contexte du débat sur le changement de la constitution.

    L’histoire nous montre aujourd’hui les limites de l’union de façade de l’opposition.

    Thierry Lézin MOUKOUYOU sur 09/04/2015 à 21:28

    Dans tous les cas, la meilleure façon de contester ces chiffres et de sortir ceux qui sont considérés comme étant les bons.

    Autrement, il ne reste qu’à préparer les funérailles de ce caprice de mégalomane, le temps que les poches de l’Etat ne soient vidées.

    Quant à nous autres pauvres congolais, nous subissons la double peine :
    – Des pillards, sans scrupule, n’ayant ni sens de l’honneur, ni faculté d’agir pour l’intérêt national et extra-clanique
    – Leurs progénitures, profitant des fruits du pillage pour poursuivre des cursus qui les ramène au point de départ : le manque de scrupule, du sens de l’honneur et de la gestion équitable des ressources,

  7. Anonyme dit :

    Je suis d’accord l’ère de sassou touche à sa fin courage congolais ses 33 ans dictature vont finir

  8. Moukouyou a écrit :
    « En cela, le fait d’avoir le pouvoir entre les mains du clan finira par leur inspirer plus de sagesse pour trouver un compromis afin de sauver l’essentiel. »

    Cette hypothèse se réalisera si Dominique Okemba joue son rôle d’ainé et que les autres l’acceptent comme le nouveau patriarche à la disparition de ses deux oncles. Il leur faut une Pascaline Bongo qui avait été élevée pour rassembler les Bongo. C’est ce qui explique que nombreux sont les Bongo qui ont soutenu le dictateur Ali dans son hold-up électoral.

    Bref, une chose est sûre, ce clan a décidé de débroussailler le chemin du futur khalife en éliminant tous les gêneurs et en achetant les autres qu’ils nommeront chef de l’opposition et président de l’assemblée nationale. Ce n’est pas un hasard si koumba se retrouve devant le juge en France. Quelqu’un l’a balancé pour mieux l’écarter d’ici leurs législatives.

  9. Bilengué SAKANA dit :

    Merci Maestro OSSEBI pour ce énième article oh combien édifiant.

    En effet le crépuscule des loups s’annonce terrible et riche en trahison et coups de poignards dans le dos.

    Les loups ne se feront assurément pas de quartier. Celui qui aura les dents plus acérés ne se gênera pas pour neutraliser définitivement les autres prétendants au trône.

    Le carnage fratricide qui s’annonce ne peut que fragiliser et décimer le clan des dinosaures de l’Alima pour notre plus grande joie.

    Ce qui est sûr, c’est que KIKI ne pourra jamais gouverner si JDO, BOUYA, EDGAR NGUESSO et NDENGUET restent aux affaires.

    Sa seule chance sera de se défaire de ce quatuor qui cherchera à l’éliminer absolument. D’autant plus que JDO et NDENGUET commanditent actuellement des meurtres, et multiplient les provocations des populations notamment à Pointe-Noire, pour les imputer aux NGUESSO père et fils.

    Contrairement à l’adage « rira bien qui rira le dernier », ici on peut dire que « dégainera bien, qui dégainera son colt le premier ».

    Donc malheur à qui tirera le dernier.

    Plus qu’un western c’est un « APOCALYPSE NOW » annoncé !

  10. David Londi dit :

    D’emblée, je réfute l’hypothèse d’un Kiki ou de n’importe quel autre membre de ce clan de criminels d’arriver au pouvoir après Sassou. Je refuse aussi d’intégrer le fait que Sassou puisse rester au pouvoir une année ou deux au pouvoir. Accepter cela c’est renier le sens de mon combat.

    Adopter de tels raisonnements c’est commencer à avouer notre incapacité, notre lassitude dans le combat féroce contre Sassou et tout son clan. Tous ces imposteurs, ces cooptés éthniques ne doivent pas être au centre de notre lutte. Nous devons nous focaliser sur l’essentiel : décortiquer le système Sassou pour en identifier toutes les contradictions, les faiblesses et les angles d’attaque efficaces pour adapter nos stratégies.

    Encore une fois, l’une des solutions est l’insurrection populaire. Celle-ci doit être préparée sur le plan stratégique, opérationnel et financier. Elle est souhaitée par plus de 90% de la population. Devant une opposition interne inaudible ou corrompue, la diaspora a une responsabilité historique de prendre le relais. Nous n’avons toujours pas discuté de mes propositions, je constate.

  11. ASSASSINAT PROGRAMMé DE KOLELAS dit :

    ASSASSINAT Programmé DE KOLELAS

    Je viens de faire un rêve !

    Qu’on ne vienne pas me jeter la pierre ce n’est qu’un rêve. Mais mes rêves se vérifient toujours et c’est pourquoi je le dévoile.

    Voici ce que les esprits viennent de me revéler :

    « QUELQUE SOIT SA SOUMISSION ENVERS LE POUVOIR DE MPILA, KOLELAS SERA BIENTÔT ASSASSINé. LE CLAN NGUESSO A VU SA CAPACITé DE MOBILISATION ET LE CRAINT PLUS QUE TOUS LES AUTRES OPPOSANTS. »

    Ils ne veulent pas de ses services. Tout ce qui intéresse le clan de Mpila c’est de le mettre en confiance et de l’assassiner. Pour qu’il ne puisse plus jamais un jour mobiliser les Kongos-Laris et mettre la succession de KIKI en danger.

    Les Mbochis ne veulent prendre aucun risque de possible mobilisation populaire dans l’avenir. A défaut d’avoir NTUMI, ils tueront KOLELAS avant les prochaines présidentielles en France.

    Tous les opposants jouissant d’une certaine capacité de nuisance étant incarcérés, ce qui préoccupe maintenant les M’Bochis c’est la MORT DE KOLELAS EN URGENCE.

    Sassou Nguesso a toujours assassiné tous ses propres serviteurs dangereux, comme les ANGA, ADOUA, MOTANDO et maintenant NTSOUROU.

    Tous les artifices qu’ils vont lui faire miroiter ne seront que des pièges. Les laboratoires de Mpila sont actuellement entrain de mettre au point les scénarii de son assassinat.

    Je me suis ensuite réveillé en sueur et j’ai prié, Seigneur, venez à notre secours.

    QUE TOUS CEUX QUI CONNAISSENT KOLELAS LE LUI DISENT.

    IL NE DOIT PAS REPARTIR AU CONGO OU NE L’ATTEND QUE LA MORT DANS LES DEUX MOIS QUI SUIVENT.

    QUE TOUS CEUX QUI L’AIMENT LE LUI DISENT.

    QUE KOLELAS DEMANDE L’ASILE POLITIQUE PARTOUT OU IL SE TROUVE ET PAR TOUS LES MOYENS.

    QUE DIEU LE PROTEGE.

    Ingeta !

  12. VAL DE NANTES dit :

    KIKI VA GOUVERNER A OYO …..ET ENCORE ……………QU’IL transforme ces rêves en réalité , c’est son droit .Mais la réalité du rêve c’est le cauchemar , il en saura le prix …

  13. Mokengeli dit :

    ECAIR ETAIT DONC UNE POUBELLE TRIBALE QUI PUAIT LE MBOCHI ? BEURK !!!

  14. Anonyme dit :

    A quand la publication integrale du rapport? Et la partie 2 de l’article? Quelles actions par les ministres en charge suite a ce rapport?

  15. macktchycaya dit :

    « LE CONGO ENTRE L’ÉCLIPSE ET LE PRÉCIPICE »

    L’assassinat des enfants des autres n’augure -t-il pas la fin de L’OYOCRATIE? c’est -à dire :
    de la DEMONCRATIE?

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